Vous reprendrez bien un verre avec votre cancer ?

Évelyne Badin en visio avec un client, élégamment maquillée et coiffée de 9 tresses africaines couchées, observant un document partagé sur le moniteur. Elle sourit joyeusement avec un sourire positif et bienveillant, sa main posée sur le menton.
Évelyne Badin, coach certifiée et survivante du cancer pour vous.

Étrange comme l’alcool peut facilement devenir un compagnon de vie dans la lutte contre le cancer, n’est-ce pas ?

Malade ou aidant, nous ne réalisons pas directement la force et l’impact de ce lien dans la maladie et dans nos vies. À l’occasion d’Octobre rose, la campagne annuelle de sensibilisation au cancer du sein, j’aimerais porter votre attention sur cette relation. 

Homme en costume debout dans une étendue d'eau aux reflets dorés, son reflet miroir symbolisant la transformation personnelle et l'introspection face au cancer
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    L’éthanol : un compagnon insoupçonné

    Avez-vous déjà réalisé à quel point boire de l’alcool est incroyablement facile ? Chaque gorgée que nous prenons est en réalité une dose d’éthanol, un composé qui se cache partout, même là où on ne l’attend pas.

    L’éthanol est cet alcool que l’on retrouve dans nos boissons préférées et un peu partout dans nos produits du quotidien car il est également un ingrédient courant dans l’industrie. Elle l’utilise comme solvant ou désinfectant. Mélangé à l’essence, il devient un carburant.

    Incolore, volatil et inflammable, il se mélange à l’eau sans problème. Mais une fois ingéré, il agit comme un psychotrope et modifie notre état d’esprit.

    Saviez-vous encore que l’éthanol ne se limitait pas seulement à nos verres ?

    On le trouve aussi dans des aliments comme le pain, les fruits trop mûrs et même dans certains produits de beauté. Bien sûr, les quantités sont bien moindres que dans nos boissons alcoolisées mais sa présence est indéniable. Cela mérite réflexion.

    Prenez un moment pour considérer votre consommation d’alcool. Êtes-vous conscient de ce que vous ingérez ?

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    L’éthanol du quotidien

    Saviez-vous que l’éthanol se cache dans une multitude de produits que nous utilisons chaque jour ? On le retrouve dans des nettoyants ménagers tels que les lave-vitres, les désinfectants ou encore les gels hydroalcooliques.

    Dans nos salles de bain, il est présent dans les parfums, les déodorants et certains cosmétiques. En cuisine, bien qu’il ne reste pas dans le produit fini, il sert souvent à extraire et concentrer les arômes. L’éthanol se glisse également dans certains médicaments et produits pharmaceutiques.

    Dans votre garage, il est utilisé dans les dégivrants ou l’antigel pour voitures. Il entre aussi dans la composition de certaines peintures, de thermomètres et, de plus en plus, dans la fabrication de bioplastiques en tant qu’alternative renouvelable.

    Ainsi, sans que nous en ayons toujours conscience, l’éthanol fait partie intégrante de notre quotidien, sous des formes et des concentrations variées.

    Mais avez-vous réfléchi à votre exposition insidieuse à l’éthanol, même en dehors de votre consommation d’alcool ? Prenez le temps de lire les étiquettes et de mieux comprendre ce qui vous entoure. Car, quelle qu’en soit la justification, chaque prise répétée d’alcool, consciente ou non, peut insidieusement bâtir une dépendance. Une réalité à méditer, n’est-ce pas ?

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    L’apéro seul·e et entre amis

    L’alcool mondain, celui que l’on partage entre ami·es, est souvent associé à des rites, des rires, des moments chaleureux et des souvenirs précieux. Qu’il s’agisse d’un verre de vin lors d’un dîner ou d’un cocktail siroté en terrasse, ces instants de convivialité renforcent les liens et célèbrent la vie.

    Dans ces contextes, l’alcool peut apparaître comme un allié réconfortant, une manière de se détendre après une longue journée ou de marquer une occasion spéciale. Mais avez-vous déjà pris un instant pour réfléchir à l’impact de ces petites habitudes anodines ? Parfois, ces moments de légèreté peuvent aussi dissimuler une tentative d’échapper à des émotions plus profondes ou complexes.

    Et si nous nous arrêtions un moment sur les quantités d’éthanol présentes dans ces verres ? Voici quelques exemples :

    • Un petit verre de pastis (2 cl à 45 %) contient environ 7,2 g d’éthanol.
    • Un verre de whisky (3 cl à 40 %) : 9,6 g d’éthanol.
    • Un martini (10 cl à 15 %) : 12 g d’éthanol.
    • Un mojito classique (6 cl de rhum à 40 %) : jusqu’à 19,2 g d’éthanol.
    • Une coupe de champagne (10 cl à 12 %) ou un verre de vin (10 cl à 12 %) : 9,6 g d’éthanol.

    Ces chiffres varient selon la façon dont les boissons sont servies mais ils illustrent bien les quantités que nous ingérons souvent sans y prêter attention.

    Mon expérience à la fois personnelle et professionnelle, face au cancer m’a poussée à reconsidérer les substances que j’introduis ou applique sur mon corps. Dans cette quête, j’ai choisi de surveiller deux composants principaux : l’éthanol et le lauryl sulfate. Pourtant, tenter de les éradiquer totalement de notre quotidien s’apparente à une mission impossible. Ils sont omniprésents, que ce soit dans nos boissons, nos produits d’hygiène ou même nos environnements.

    Et vous, avez-vous pris le temps de réfléchir à la quantité d’éthanol que vous consommez au quotidien, consciemment ou non ? Ces chiffres, bien qu’impressionnants, invitent à une prise de conscience salutaire.

    Marc, 42 ans, partage son expérience lors d'une séance de coaching avec Évelyne Badin. Il explique comment il a caché sa maladie à son employeur et les défis rencontrés au travail.
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    L’alcoolisme routinier : une réalité cachée

    Pour ceux d’entre nous qui traversent des moments difficiles, comme un cancer, l’alcool peut sembler être un réconfort. Je le comprends parfaitement. Mais attention, cet « ami » peut se révéler traître.

    L’Institut national du Cancer révèle que 8 000 cas de cancers du sein parmi les 61 000 détectés chaque année en France sont attribuables à l’éthanol. Classé cancérigène pour l’homme par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) depuis plus de 40 ans, l’éthanol est la deuxième cause évitable de mortalité par cancer, juste après le tabac.

    Au fil des années, j’ai réalisé que la dépendance à l’alcool était bien plus présente autour de nous que je ne l’imaginais, prenant des formes diverses et souvent insidieuses.

    Je me souviens de cette lycéenne, jeune aidante épuisée, qui avait trouvé dans l’alcool un soutien quotidien. Sans jamais paraître ivre ou adopter des comportements à risque, elle ne manquait jamais sa bière grenadine journalière.

    Permettez-moi de vous orienter vers l’article intitulé « Alcool et cancer du sein : limiter sa consommation diminue le risque » sur le blog de The Conversation. Cet article met en lumière les risques associés à la consommation d’alcool et souligne l’importance de la modération.

    J’ai été témoin des effets dévastateurs de l’alcoolisme parental bien avant les comprendre. Les sautes d’humeur inexpliquées, les accès de colère soudains, les mains tremblantes, la violence verbale et parfois physique – autant de signes que je n’ai su interpréter que bien plus tard.

    J’ai aussi croisé la route d’un professionnel de santé qui avait pris l’habitude, depuis son internat, de commencer sa journée par une bière au petit-déjeuner. Une mère célibataire de mon entourage noyait dans l’alcool le stress du harcèlement d’un ex-conjoint violent. Et je n’oublierai jamais cette femme des beaux quartiers parisiens qui, de cocktails mondains en soirées arrosées, avait fait de l’alcool son compagnon de tous les jours.

    Ces expériences m’ont ouvert les yeux sur la réalité de l’alcoolisme : il ne se résume pas à l’image stéréotypée de l’ivrogne titubant. Il peut se cacher derrière des façades respectables, des habitudes socialement acceptées, des stratégies face aux difficultés de la vie. C’est une réalité complexe, souvent invisible, mais toujours destructrice.

    Au fil des années, j’ai réalisé que la dépendance à l’alcool était bien plus présente autour de nous que je ne l’imaginais, sous des formes diverses et souvent insidieuses.

    Je me souviens de cette lycéenne, jeune aidante épuisée qui avait trouvé dans l’alcool un soutien quotidien. Sans jamais paraître ivre ou adopter des comportements à risque, elle ne manquait jamais sa bière grenadine journalière.

    Médecin confiant en blouse blanche, portant un masque et un stéthoscope, les bras croisés, symbolisant l'expertise médicale et le prpofessionnel des soins basés sur la science
    Mains entrelacées de diverses couleurs de peau, symbolisant le soutien et la solidarité entre associations et personnes confrontées au cancer, dans le cadre du partenariat avec Évelyne Badin, coach cancer.
    As de pique tenu par un homme, symbolisant le coaching holistique contre le cancer par Évelyne Badin, soutien physique, mental et émotionnel.

    L’alcool : un ami trompeur en temps de crise

    Pour ceux d’entre nous qui traversent des moments difficiles, comme un cancer, l’alcool peut sembler être un réconfort. Je le comprends parfaitement. Mais attention, cet « ami » peut se révéler traître.

    L’Institut national du Cancer révèle que 8 000 cas de cancers du sein parmi les 61 000 détectés chaque année en France sont attribuables à l’éthanol. Classé cancérigène pour l’homme par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) depuis plus de 40 ans, l’éthanol est la deuxième cause évitable de mortalité par cancer, juste après le tabac.

    Réduire sa consommation d’alcool : une astuce simple

    Si vous voulez essayer de lever un peu le pied ou d’aider un proche à lever le pied, j’ai une petite astuce pour vous.

    Commencez par choisir un jour par semaine sans alcool. Puis passez à deux. C’est tout bête mais ça m’a permis d’aider beaucoup de personnes dépendantes à prendre du recul, à prendre conscience de leur consommation d’alcool, à espacer les prises jusqu’à stopper définitivement, pour les plus chanceux, les plus déterminés.

    Se libérer de l’emprise de l’alcool est un défi quotidien, un combat qui dure toute une vie pour beaucoup. C’est un chemin parsemé d’obstacles, de doutes et de tentations, que seuls ceux qui l’ont vécu peuvent vraiment comprendre. Chaque jour est une nouvelle bataille, chaque refus une petite victoire.

    Pour celles et ceux qui n’ont jamais connu cette lutte, il est difficile d’imaginer la force mentale nécessaire pour résister à l’appel de la bouteille, la volonté de fer qu’il faut pour reconstruire sa vie sans cet ancien « compagnon ». C’est un véritable parcours du combattant, un sacerdoce qui demande une détermination sans faille. Les moments de faiblesse, les regards incompréhensifs de l’entourage, la peur constante de la rechute… Tout cela fait partie du quotidien des personnes qui s’efforcent de rester sobres. Leur réussite est d’autant plus admirable qu’elle est le fruit d’un effort constant et souvent invisible aux yeux des autres.

    En fin de compte, l’important c’est d’être conscient de ce qu’on boit, sans se juger. On fait tous de notre mieux, n’est-ce pas ?

    FAQ
    Questions fréquentes

    Évelyne Badin en visio avec un client, élégamment maquillée et coiffée de 9 tresses africaines couchées, observant un document partagé sur le moniteur. Elle sourit joyeusement avec un sourire positif et bienveillant, sa main posée sur le menton.

    Évelyne Badin

    J’ai réalisé, durant mon parcours avec le cancer, l’isolement que vivent les malades au quotidien, souvent coupé·es du monde qui les entoure. C’est ce constat qui m’a inspiré à créer ces séances de coaching immersives en dehors des murs de l’hôpital, au cœur des musées parisiens. Des moments de découverte et de partage pour renouer avec soi-même et retrouver des ressources insoupçonnées.

    Qui est Évelyne Badin coach cancer ?

    Évelyne Badin est une coach certifiée en développement personnel, spécialisée dans l’accompagnement des personnes confrontées au cancer. Elle est praticienne PNL certifiée ITS, ACTP et ICF, ainsi que personal brander qualifiée.

    Quelles sont les qualifications d’Évelyne Badin en tant que coach cancer ?

    Évelyne Badin possède une combinaison unique de qualifications professionnelles et d’expérience personnelle qui font d’elle une coach cancer exceptionnelle :

    1. Certifications en coaching :
      • Coach certifiée en PNL (Programmation Neuro-Linguistique) par ITS Londres.
      • Certifications ACTP et ICF, reconnues internationalement.
    2. Expérience personnelle :
      • Survivante du cancer, ce qui lui confère une compréhension intime des défis liés à la maladie.
    3. Expertise en développement personnel :
      • Spécialisation dans le coaching cancer et le développement personnel.
    4. Compétences en marketing digital (certifications nord-américaines) :
      • McMaster University of California, San Diego : Techniques d’apprentissage (2018).
      • University of California Davis-Graduate School of Management : Marketing digital relationnel et de contenu (2020).
      • Northwestern University :
        • Marketing digital relationnel d’engagement (2019).
        • Marketing et veille des médias sociaux (2019).
        • Gestion des médias sociaux (Social Media Management, 2018).


    Cette combinaison de compétences en coaching, d’expérience personnelle du cancer et d’expertise en marketing digital permet à Évelyne Badin d’offrir un accompagnement holistique qui allie soutien émotionnel, stratégies de développement personnel et outils pratiques pour naviguer dans le monde professionnel pendant et après le cancer.

    Qu’est-ce qu’un coach cancer ?

    Un coach cancer est un coach professionnel formé pour accompagner les personnes et spécialement orienté vers les personnes atteintes de cancer, les malades, ex-malades et leurs proches. Il offre un soutien personnalisé pour les aider à surmonter les défis émotionnels, physiques et pratiques liés à la maladie.

    Un coach cancer doit nécessairement avoir suivi une formation d’accompagnement (coaching) en développement personnel et en techniques comportementales et cognitives comme la PNL. Ces compétences lui permettent d’accompagner efficacement les patient·es dans la gestion des aspects émotionnels, psychologiques et pratiques liés à la maladie.

    Le coach cancer favorise alors une approche holistique du bien-être et de la résilience.

    En quoi le coaching cancer d’Évelyne Badin se distingue-t-il des autres formes de soutien ?

    Le coaching cancer d’Évelyne BADIN propose une approche unique qui allie expertise professionnelle et expérience personnelle. En tant que coach certifiée PNL (ACTP ICF) et survivante du cancer, Évelyne BADIN offre un accompagnement holistique qui prend en compte tous les aspects de la vie du client.

    Sa méthode flexible s’adapte à l’état de santé physique et mental de chaque individu. Elle comprend les défis liés au cancer et propose un soutien respectueux sans surcharge. 

    Ce coaching se caractérise par :

    • Une approche personnalisée qui tient compte des besoins spécifiques de chacun
    • Une combinaison de techniques de développement personnel, de PNL et de marketing digital
    • Un accompagnement pour la gestion du stress, le renforcement de la confiance en soi et la préparation au retour à la vie professionnelle


    L’objectif d’Évelyne Badin coach cancer consiste à aider ses clients à transformer leur expérience du cancer en une opportunité de croissance personnelle. Son approche crée un espace propice à la réflexion et à la progression, tout en respectant le rythme de chacun·e.

    Gros plan sur un chiot Berger Allemand, incarnant la joie et l'affection
    C’est quoi le développement personnel ?

    Le développement personnel est un processus d’amélioration de soi visant à atteindre son plein potentiel.

    Il englobe des activités et des pratiques qui favorisent la croissance personnelle, l’épanouissement et le bien-être dans divers aspects de la vie.

    À quel moment du parcours cancer peut-on faire appel à un coach cancer ?

    On peut faire appel à un coach cancer à tout moment : dès l’annonce du diagnostic, pendant les traitements, après la rémission ou même en tant que proche aidant, employeur ou membre d’une association de soutien. En résumé, toute personne concernée par la maladie peut recourir à un coach cancer.

    Un coach cancer peut les accompagner car sa formation holistique en développement personnel et ses compétences en techniques comportementales et cognitives comme la PNL lui permettent d’apporter des réponses concrètes aux défis émotionnels, psychologiques et pratiques rencontrés dans le contexte du cancer.

    Il peut intervenir à chaque étape de la maladie et favoriser ainsi une approche globale et cohérente du soutien, tout au long du parcours de la maladie.

    Le cancer peut-il être causé par l’alcool ?

    Oui, la consommation d’alcool est un facteur de risque connu pour plusieurs types de cancers. L’alcool est classé comme cancérigène de groupe 1 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).

    Quels types de cancers sont liés à la consommation d’alcool ?

    L’alcool augmente le risque de cancers de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, du foie, du côlon, du rectum et du sein chez la femme.


    Puis-je continuer à boire de l’alcool pendant mon traitement contre le cancer ?

    Il est fortement déconseillé de consommer de l’alcool pendant un traitement contre le cancer. L’alcool peut interférer avec les médicaments, augmenter les effets secondaires et réduire l’efficacité des traitements. De plus, l’alcool affaiblit le système immunitaire, ce qui peut compromettre votre capacité à lutter contre le cancer

    Comment l’alcool affecte-t-il mon traitement contre le cancer ?

    L’alcool peut :

    • Retarder la guérison des tissus
    • Interagir négativement avec certains médicaments
    • Augmenter le risque d’effets secondaires
    • Affaiblir le système immunitaire
    L’arrêt de l’alcool peut-il améliorer mes chances de guérison ?

    Oui, arrêter l’alcool peut améliorer l’efficacité des traitements, réduire les complications et potentiellement augmenter les chances de survie.

    Puis-je boire occasionnellement pendant mon rétablissement ?

    Il est préférable de consulter votre équipe médicale avant de reprendre toute consommation d’alcool. Dans de nombreux cas, l’abstinence totale est recommandée, surtout pendant la phase active du traitement.

    L’alcool peut-il augmenter le risque de récidive du cancer ?

    Oui, des études suggèrent que la consommation d’alcool après un diagnostic de cancer peut augmenter le risque de récidive, en particulier pour certains types de cancers comme le cancer du sein.

    Comment gérer le stress lié au cancer sans recourir à l’alcool ?

    Voici quelques alternatives saines :

    Comment puis-je soutenir un proche atteint de cancer et dépendant à l’alcool ?

    Vous pouvez :

    • Créer un environnement sans alcool
    • Offrir un soutien émotionnel constant
    • Encourager la communication ouverte
    • Aider à trouver des ressources professionnelles
    • Participer à des groupes de soutien pour les proches
    Quels sont les principaux bienfaits de l’arrêt de l’alcool sur la santé mentale ?

    L’arrêt de l’alcool peut améliorer significativement la santé mentale en :

    • Améliorant l’humeur et réduisant l’anxiété
    • Augmentant la concentration et les performances cognitives6
    • Favorisant un meilleur sommeil et réduisant la fatigue5
    • Stabilisant les émotions et l’état psychologique
    Combien de temps faut-il pour ressentir les bienfaits de l’arrêt de l’alcool ?

    Certains effets positifs peuvent être ressentis dès la première semaine d’abstinence. Pour les consommateurs excessifs, des bénéfices au niveau psychique sont généralement observés au bout d’une à deux semaines.

    L’arrêt de l’alcool peut-il aider à combattre la dépression ?

    Oui, l’arrêt de l’alcool peut aider à réduire les symptômes de dépression. Bien que l’alcool puisse temporairement masquer ces symptômes, à long terme, il tend à aggraver la dépression.


    L’arrêt de l’alcool peut-il affecter l’estime de soi ?

    Oui, l’arrêt de l’alcool peut renforcer les sentiments de sécurité, de confiance et d’estime de soi.

    Quels sont les effets de l’arrêt de l’alcool sur la mémoire et la concentration ?

    L’arrêt de l’alcool peut améliorer significativement les performances cognitives, notamment :

    • L’attention et la concentration
    • La capacité à résoudre des problèmes
    • La mémorisation

    Les traitements contre le cancer peuvent aussi diminuer vos performances cognitives. Additionner ces effets à la prise d’alcool régulière amplifie les potentiels séquelles et effets secondaires de la maladie.

    Quels sont les effets de l’arrêt de l’alcool sur le sommeil ?

    L’arrêt de l’alcool améliore significativement la qualité du sommeil, ce qui contribue à réduire la fatigue et à augmenter l’énergie globale.


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